Baise m’encor, rebaise moy et baise.
Donne m’en un de tes plus savoureus,
Donne m’en un de tes plus amoureus :
Je t’en rendray quatre plus chaus que braise.
Las, te plains-tu ? ça que ce doux mal j’apaise,
En t’en donnant dix autres doucereus.
Ainsi meslans nos baisers tant heureus,
Jouissons nous l’un de l’autre à notre aise.
Lors double vie à chacun en suivra.
Chacun en soy et son ami vivra.
Permets m’Amour penser quelque folie :
Tousjours suis mal, vivant discrettement
Et ne me puis donner contentement,
Si hors de moy ne fay quelque saillie.
Donne m’en un de tes plus savoureus,
Donne m’en un de tes plus amoureus :
Je t’en rendray quatre plus chaus que braise.
Las, te plains-tu ? ça que ce doux mal j’apaise,
En t’en donnant dix autres doucereus.
Ainsi meslans nos baisers tant heureus,
Jouissons nous l’un de l’autre à notre aise.
Lors double vie à chacun en suivra.
Chacun en soy et son ami vivra.
Permets m’Amour penser quelque folie :
Tousjours suis mal, vivant discrettement
Et ne me puis donner contentement,
Si hors de moy ne fay quelque saillie.
Merci à Papageno.
2 commenti:
ehi, ma questo post non è in italiano!!! ;)
Hai ragione. Ma rappresenta un mio desiderio—per un amante che sappia amare, e che non sia carogna!
Bacioni a te!
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